30 juillet 2016
Des rêves cette nuit et la nuit d'avant. j'ai rêvé d'horaires de travail. Je ne m'en souviens pas trop. je me vois entrain d'arriver quelque part avec T. et D. du boulot et nous posons nos affaires dans une maison. Et après c'est flou, nous sommes devant une personne qui nous donne l'autorisation ou pas de faire quelque chose.
Ce matin, j'aurais bien aimé aller avec ma chérie et Gabin au château de Saint Jean d'Angle. je ne peux pas comme je ne peux pas décrocher de mots aux voisins. j'ai été au livreur. J'ai pu lui dire bonjour. C'est déjà ça. je sens que mon espace vital est réduit et ça m'opresse. C'est comme ça. Si je ne vais pas bien, je rentre. j'ai voulu commencer à écrire dehors. Mais avec Gabin qui parle (et heureusement) et le bruit du voisin, je ne peux pas. Je rentre. plus facile pour écrire et je suis chez moi. Cette opression me stresse au plus haut point. C'est à moi de savoir me retirer quand il le faut. Et là, il le faut. j'ai une famille. je dois apprendre à gérer avec, même si c'est dur parfois. Je m'isole quand j'en ai besoin. je ne joue pas toujours avec Gabin et je m'occupe de moi. Et après, je rejoue avec lui et je passe du temps avec ma famille.
j'arppréhende ce mois d'août (vacances famille, baptême, vacances Gabin, famille chez les voisins, le bruit, le bruit, le bruit).
Si ça ne va pas, je reste dans la maison. je dois être serein et je dois savoir m'écouter et savoir dire quand ça va ou pas pour le respect de moi même et de ma famille.
Vivement le mois de septembre. oups, nous sommes que le 30 juillet. ça va vite passer. je dois être serein et je dois savoir m'écouter et savoir dire quand ça va ou pas. je sens que c'est dur. Je dois me reconstruire avec des hauts et des bas. je dois garder les hauts et savoir accepter les bas. C'est ce qui me rendra plus fort.