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la vie d'un burner out
21 août 2016

17 août 2016

Hier soir, en revenant de la paille, les enfants des voisins étaient sortis. Je n'ai pas décroché un seul mot et je suis rentré rapidement. En les voyant, j'ai eu une sensation d'opression. J'ai repensé à Gabin quand je l'avais poussé . Alors j'ai respiré profondément et je suis rentré à la maison direct. j'ai bien dormi cette. J'ai envoyé email pour le boulot. Est-ça ? est-ce les "restes" d'hier soir avec le retour de la paille. Est-ce le fait que nous irons l'après midi ramasser des mûres ? en tout cas, j'avais le bras qui me grattait et les jambes aussi. Une crise. Alors respiration tranquille, plante sur les mains. Cela m'a calmé. En y repensant je crois que ce sont les emails à DRH pour papier CGOS qui m'ont stressé. Car, à un moment donné, en faisant les papiers j'ai eu une vague d'émotion ++++ qui m'est montée aux yeux. 

Le fait de me reposer aussi me fait du bien. Nous avons été ramassé les mûres et la paille. j'appréhendais le retour. Cela a été il n'y avait personne. tranquille donc pour rentrer.

Pourquoi appréhender ? alors que il n'y a pas de raison. Ce qui m'ennuie c'est de parler avec le monde en général pour le moment. Cela me bloque, il n'y a rien qui sort à part pour ma petite famille. 

Et je l'aime fort ma petite famille et je ne les abandonnerais jamais.

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la vie d'un burner out
  • Un burn out n'arrive pas comme ça. Le nombre d'alertes que j'ai eu avant mon épuisement professionnel est impressionnant. Je ne l'ai pas vu venir (mal au ventre, fatigué, anxieux, irrité, alcool et manger plus). Voici ma vie de burner out.
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