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la vie d'un burner out
22 octobre 2016

27 août 2016

Un joli samedi avec ma chérie, Gabin et Quentin. Au tel plusieurs fois, ça va. Stricte familiale je gère. les voisins, je ne peux pas leur parler. Même les enfants, ça ne vient pas. pas possible, c'est comme ça.

Ce matin, j'ai répondu à personne du boulot. Je bloque grave lorsque je parle, j'écris boulot. j'ai un sentiment d'oppression qui monte. Comment faire pour que ce sentiment s'en aille ? Toujours cette notion de culpabilité qui revient sans cesse. ne plus, ne pas pouvoir aider ou alors avoir trop aidé à m'en perdre.

Je crois que le métier d'animateur n'est plus pour moi. C'est cette culpabilité qui me ronge j'ai l'impression. J'ai l'impression d'être descendu bien bas à vouloir aider tout le monde. Je m'en suis épuisé complètement et je dois remonter. je n'ai pas le choix. Pormenade en vélo. Le pendant, ça va . le départ et l'arrivée ou j'appréhende. Là, à l'arrivée du monde le premier coup. Donc petit tour en plus pour arriver de l'autre côté. Personne et on rentre. Par contre du monde chez les voisins et difficulté à sortir. Pourquoi ? le regard, la peur qu'il vienne me parler et de ne pas pouvoir lui répondre. Sentiment de stress en sortant chercher vêtement à ma chérie. C'est déjà bien, j'y vais. Avec du mal et j'y vais. Après je m'assois et j'écris. Je surveille Gabin qui est dehors et moi dedans sur la petite table à regarder si tout se passe bien pour lui. 

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la vie d'un burner out
  • Un burn out n'arrive pas comme ça. Le nombre d'alertes que j'ai eu avant mon épuisement professionnel est impressionnant. Je ne l'ai pas vu venir (mal au ventre, fatigué, anxieux, irrité, alcool et manger plus). Voici ma vie de burner out.
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