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la vie d'un burner out
22 octobre 2016

29 août 2016

Hier dimanche, nous étions là tous les 4 la matinée. le petit déjeuner s'est bien déroulé. J'ai accompagné quentin à son domicile de vacances à bourcefranc avec Gabin. Casquette sur la tête et c'est parti. Nous l'avons laissé et ensuite reparti pour la maison. Quand on repartait, une connaissance arrivait. je lui ai fait signe de la tête et nous sommes partis. 

après midi jardin. Je laisse et je dois m'apprendre à laisser Gabin jouer tout seul. Surtout qu'il y arrive très bien. Et en fin de journée, je sens que j'ai dû mal. A moi de gérer et au fur et à mesure je vais y arriver. le soir, nous avons été nous promenés à pied. Le soir moins de monde et j'ai ma casquette. je sens toujours cette peur du regard. Si besoin je me cache sous ma casquette. 

ce matin réveil tranquille. Quentin revient tout compte fait que mercredi matin. Nous l'avons eu au tel, énervé. Donc je crois que quand c'est comme ça, il vaut mieux raccrocher et attendre que l'énervement s'estompe. On a le droit d'être énervé mais il faut s'en prendre qu'à soi même et ne pas s'en prendre aux autres. Temps de respiration tranquille et après on voit. Je parle pour Quentin et je parle aussi pour moi. S'énerver ne sert à rien ; juste à stresser tout le monde et la journée est pourrie ensuite. Ce n'est pas l'objectif et nous devons y arriver. ça va le faire. Prendre le temps de s'écouter les uns les autres et parler calmement. Ecouter aussi mon corps, avoir confiance en moi et être serein. 

Je stagne au niveau kgs (80//81 kgs). Enfin c'est mieux que 95 kgs. Et je me sens mieux. Je voudrais aller en dessous de 80kgs , allez 78/79. Actuellement cela me ferait du bien. Déjà, je trouve ça cool et je me sens mieux dans mon corps. 

Demain rv docteur. J'apporte bilan visite médicale. Je sais au moins que je rembaucherais pas encore sur septembre c'est clair. je le sens bien que je ne suis pas prêt à rembaucher. Quand je pense travail, une vague de stress monte et m'envahit. Je voudrais pleurer et ça se bloque. Fait que ça sorte pourtant c'est clair. Ma chérie d'amour est partie à son entretien. Gabin dort et je fais pause de mon côté pendant ce temps là. 

Après opération sac toile de tente pour Quentin. Seul ou avec ma chérie, je verrais bien et de toute façon à moi de gérer il le faut. Et ma chérie doit aussi se ménager avec l'arrivée du 3ème pas prévu et quel bonheur. 

Comme dit ma chérie, je vais voir avec le médecin car je suis arrêté depuis le 30 mai et non le 4 juin comme marqué sur certificat médical. Il n'y a pas de raison de faire cadeau de la semaine. le boulot m'a bien assez bouzillé comme ça.

Ce soir, opération sac pour Quentin à Bourcefranc. Le plus difficile à gérer a été dans Bourcefranc, beaucoup de voitures et un stress qui s'installe. Gabin était avec moi. j'ai pris le temps de respirer. Devant la maison des amis, qui n'étaient pas là comme prévu, j'ai pu laisser le sac et nous sommes repartis. le plus difficile était de descendre de la voiture avec une opression dû à une peur que quelqu'un s'arrête. Respiration, respiration, respiration. j'en menais pas large. Pour le retour, j'ai respiré profondément.

Arrivée à la maison, j'étais fatigué. La soirée s'est bien déroulée quand même. Je sentais mon stress et donc respiration profonde et profonde. Et demain une autre grande journée. RV chez le docteur avec Gabin.....

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la vie d'un burner out
  • Un burn out n'arrive pas comme ça. Le nombre d'alertes que j'ai eu avant mon épuisement professionnel est impressionnant. Je ne l'ai pas vu venir (mal au ventre, fatigué, anxieux, irrité, alcool et manger plus). Voici ma vie de burner out.
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